La vallée du Zambèze, au Zimbabwe, est inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO et abrite la plus grande zone sauvage d’Afrique du Sud. C’est dans cette région qu’on trouve le plus grand nombre d’éléphants d’Afrique, qui ne sont malgré tout pas à l’abri du danger : leur population a diminué de 40 % depuis 2001. En 2016, on a compté un éléphant victime de braconnage tous les quatre jours.
C’est cette crise qui a donné naissance à un organisme anti-braconnage héroïque : le Zambezi Elephant Fund (ZEF) regroupe des passionnés, des organisations à but non lucratif, des voyagistes et The Zimbabwe Parks and Wildlife Management Authority. Évidemment, réunir tout ce monde demande une logistique complexe et une collaboration fluide.
« Plutôt que de travailler sur ce problème de braconnage chacun de notre côté, nous avons combiné nos efforts pour être plus efficaces, » explique Richard Maasdorp, coordinateur du Zambezi Elephant Fund (ZEF). « En rassemblant des compétences et perspectives diverses, nous avons pu mettre au point des techniques très efficaces contre le braconnage et avons commencé à contenir la crise. »
Même si ce modèle collaboratif reste rare en Afrique, les membres du Zambezi Elephant Fund sont convaincus que c’est la raison de leur réussite. Découvrez comment l’équipe utilise Dropbox pour coordonner ses différents membres afin d’atteindre un objectif commun.
« En rassemblant des compétences et des perspectives diverses, nos partenaires et nous avons mis au point des techniques très efficaces contre le braconnage et avons commencé à maîtriser la crise. » Richard Maasdorp, coordinateur du Zambezi Elephant Fund
Former les gardes-forestiers et creuser des sentiers
« Ces zones constituent des points sensibles, » explique Richard. « Les braconniers s’y déplacent en fonction des saisons : lors de la saison humide, ils évoluent le long des rivières, pour suivre le chemin des éléphants. Pendant la saison sèche, on les retrouve ailleurs. »
Le coordinateur explique que pendant la saison sèche, l’équipe recherche les mares et les sources, car les éléphants ont tendance à s’y rassembler pour boire. Dans les collines, les braconniers suivent les chemins tracés par des générations d’éléphants qui ont découvert le chemin le plus facile pour monter et descendre les pentes abruptes.
Plus grand est le terrain couvert par les gardes-forestiers dans ces points sensibles, meilleure est la protection. En effet, même s’ils n’affrontent pas directement les braconniers durant l’une de leurs patrouilles, leurs traces de pas suffisent à inquiéter les criminels. Les repas, l’équipement (radios, tentes, packs et moustiquaires) et les transports des gardes-forestiers sont fournis par les groupes et les individus engagés dans la lutte anti-braconnage.
Les principales zones de braconnage sont éloignées et difficiles d’accès. Pour y acheminer rapidement les gardes-forestiers, les partenaires du ZEF creusent des sentiers anti-braconnage avec des engins de chantier offerts par leurs soutiens.
Patrouiller sur le terrain et dans les airs
Selon les estimations, 50 % des braconniers viennent de Zambie et traversent le fleuve Zambèze pour chasser les éléphants. Pour faire baisser ce chiffre, le ZEF a dépêché un bateau patrouilleur afin d’intercepter les criminels et de les empêcher d’atteindre la côte.
« L’un de nos partenaires, l’organisme Flying for Wildlife, utilise de petits avions privés pour rechercher les feux et les carcasses, ce qui nous permet de surveiller les zones les plus éloignées, » explique Richard. « Nous cherchons d’ailleurs à financer un avion léger dans cette optique. »
Collecter des renseignements anonymes
L’organisme a également mis en place un programme qui permet aux témoins d’envoyer par service de messagerie des renseignements anonymes sur les braconniers ou leurs complices qui dissimuleraient de l’ivoire avant son expédition. Si ces renseignements débouchent sur une arrestation de personnes impliquées dans la chasse illégale de la faune, une récompense est envoyée à l’informateur par paiement mobile. Ce programme est un réel succès.
Présenter la mission et son impact
Lorsque le travail que vous effectuez se déroule dans une zone si isolée, comment faire pour communiquer son impact ? Et surtout, comment fédérer d’autres personnes dans le monde entier et les inviter à participer à votre mission ? Les pièces jointes et les bulletins d’informations envoyés par le ZEF n’avaient pas l’effet espéré.
Dépeindre de façon saisissante la majesté des éléphants protégés par l’organisme et le besoin urgent d’aide est la meilleure façon d’attirer de nouveaux soutiens. Le texte ne suffit pas pour communiquer l’histoire et la mission du ZEF. C’est pourquoi l’équipe a décidé d’utiliser Showcase, un produit créé par Dropbox octobre 2017.
« Dropbox Showcase nous aide à faire entrer les gens dans notre monde. Cet outil nous permet d’expliquer ce que nous faisons de manière visuelle et d’impliquer les gens, malgré les milliers de kilomètres qui nous séparent, » explique Richard. « Lorsque les gens ne sentent pas la poussière sous leurs pieds, le soleil dans leur dos, qu’ils n’entendent pas les éléphants boire dans une mare toute proche, l’eau qui s’écoule dans leur trompe et leur gorge… C’est à nous de les aider à comprendre notre travail, pourquoi tout cela nous tient à cœur, pourquoi nous voulons mettre fin au braconnage. C’est une tâche importante que Dropbox Showcase nous aide à réaliser.”
« Dropbox Showcase nous aide à partager notre travail avec le reste du monde. Nous pouvons expliquer ce que nous faisons de manière visuelle, ce qui permet d’impliquer les gens, malgré les milliers de kilomètres qui nous séparent. »
L’une des fonctionnalités Showcase préférées de Richard est la possibilité de personnaliser la présentation en fonction des différents publics. Lors de présentations externes, Showcase permet à l’organisme de mettre en avant différents aspects qui susciteront plus l’intérêt des destinataires. Il est facile d’ajouter rapidement des détails et de réorganiser les fichiers pour mettre les plus importants en première position.
Le ZEF utilise également Showcase en interne pour communiquer à tous les niveaux de l’organisme. L’équipe a régulièrement besoin de partager des points clés avec les membres et les partenaires après ses ateliers et réunions stratégiques. Richard trouve qu’utiliser Showcase plutôt que des notes de réunion classiques est bien plus motivant et implique plus les membres de l’équipe.
Coordonner les efforts des bénévoles du Zimbabwe à San Francisco
“En rassemblant des compétences et des soutiens du monde entier, notre équipe est devenue plus forte, unie par un objectif commun. »
Le 17 novembre, le ZEF sera le bénéficiaire de la course Saving the Elephants organisée à Central Park, à New York. « Nous sommes ravis du potentiel offert par cet événement, » se réjouit Richard. « L’effort de coordination entre nos bénévoles situés au Zimbabwe, à New York, à San Francisco et à Londres pour rendre tout cela possible sera énorme. »
Bientôt, le ZEF commencera à coordonner son travail grâce à Dropbox Paper. L’organisme prévoit d’utiliser Paper comme emplacement central où partager des idées, harmoniser la communication et la logistique, et préparer cet événement.
« C’est impossible d’imaginer ce trésor de notre planète sans les éléphants. Cette région leur appartient plus qu’à nous, c’est pourquoi nous travaillons dur pour les protéger. En rassemblant des compétences et des soutiens du monde entier, notre équipe est devenue plus forte, unie par un objectif commun. Nous invitons le monde entier à nous rejoindre dans cette mission, » conclut Richard Maasdorp.
Comment le Zambezi Elephant Fund utilise Dropbox Showcase pour présenter sa mission
La vallée du Zambèze, au Zimbabwe, est inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO et abrite la plus grande zone sauvage d’Afrique du Sud. C’est dans cette région qu’on trouve le plus grand nombre d’éléphants d’Afrique, qui ne sont malgré tout pas à l’abri du danger : leur population a diminué de 40 % depuis 2001. En 2016, on a compté un éléphant victime de braconnage tous les quatre jours.
C’est cette crise qui a donné naissance à un organisme anti-braconnage héroïque : le Zambezi Elephant Fund (ZEF) regroupe des passionnés, des organisations à but non lucratif, des voyagistes et The Zimbabwe Parks and Wildlife Management Authority. Évidemment, réunir tout ce monde demande une logistique complexe et une collaboration fluide.
« Plutôt que de travailler sur ce problème de braconnage chacun de notre côté, nous avons combiné nos efforts pour être plus efficaces, » explique Richard Maasdorp, coordinateur du Zambezi Elephant Fund (ZEF). « En rassemblant des compétences et perspectives diverses, nous avons pu mettre au point des techniques très efficaces contre le braconnage et avons commencé à contenir la crise. »
Même si ce modèle collaboratif reste rare en Afrique, les membres du Zambezi Elephant Fund sont convaincus que c’est la raison de leur réussite. Découvrez comment l’équipe utilise Dropbox pour coordonner ses différents membres afin d’atteindre un objectif commun.
« En rassemblant des compétences et des perspectives diverses, nos partenaires et nous avons mis au point des techniques très efficaces contre le braconnage et avons commencé à maîtriser la crise. » Richard Maasdorp, coordinateur du Zambezi Elephant Fund
Former les gardes-forestiers et creuser des sentiers
« Ces zones constituent des points sensibles, » explique Richard. « Les braconniers s’y déplacent en fonction des saisons : lors de la saison humide, ils évoluent le long des rivières, pour suivre le chemin des éléphants. Pendant la saison sèche, on les retrouve ailleurs. »
Le coordinateur explique que pendant la saison sèche, l’équipe recherche les mares et les sources, car les éléphants ont tendance à s’y rassembler pour boire. Dans les collines, les braconniers suivent les chemins tracés par des générations d’éléphants qui ont découvert le chemin le plus facile pour monter et descendre les pentes abruptes.
Plus grand est le terrain couvert par les gardes-forestiers dans ces points sensibles, meilleure est la protection. En effet, même s’ils n’affrontent pas directement les braconniers durant l’une de leurs patrouilles, leurs traces de pas suffisent à inquiéter les criminels. Les repas, l’équipement (radios, tentes, packs et moustiquaires) et les transports des gardes-forestiers sont fournis par les groupes et les individus engagés dans la lutte anti-braconnage.
Les principales zones de braconnage sont éloignées et difficiles d’accès. Pour y acheminer rapidement les gardes-forestiers, les partenaires du ZEF creusent des sentiers anti-braconnage avec des engins de chantier offerts par leurs soutiens.
Patrouiller sur le terrain et dans les airs
Selon les estimations, 50 % des braconniers viennent de Zambie et traversent le fleuve Zambèze pour chasser les éléphants. Pour faire baisser ce chiffre, le ZEF a dépêché un bateau patrouilleur afin d’intercepter les criminels et de les empêcher d’atteindre la côte.
« L’un de nos partenaires, l’organisme Flying for Wildlife, utilise de petits avions privés pour rechercher les feux et les carcasses, ce qui nous permet de surveiller les zones les plus éloignées, » explique Richard. « Nous cherchons d’ailleurs à financer un avion léger dans cette optique. »
Collecter des renseignements anonymes
L’organisme a également mis en place un programme qui permet aux témoins d’envoyer par service de messagerie des renseignements anonymes sur les braconniers ou leurs complices qui dissimuleraient de l’ivoire avant son expédition. Si ces renseignements débouchent sur une arrestation de personnes impliquées dans la chasse illégale de la faune, une récompense est envoyée à l’informateur par paiement mobile. Ce programme est un réel succès.
Présenter la mission et son impact
Lorsque le travail que vous effectuez se déroule dans une zone si isolée, comment faire pour communiquer son impact ? Et surtout, comment fédérer d’autres personnes dans le monde entier et les inviter à participer à votre mission ? Les pièces jointes et les bulletins d’informations envoyés par le ZEF n’avaient pas l’effet espéré.
Dépeindre de façon saisissante la majesté des éléphants protégés par l’organisme et le besoin urgent d’aide est la meilleure façon d’attirer de nouveaux soutiens. Le texte ne suffit pas pour communiquer l’histoire et la mission du ZEF. C’est pourquoi l’équipe a décidé d’utiliser Showcase, un produit créé par Dropbox octobre 2017.
« Dropbox Showcase nous aide à faire entrer les gens dans notre monde. Cet outil nous permet d’expliquer ce que nous faisons de manière visuelle et d’impliquer les gens, malgré les milliers de kilomètres qui nous séparent, » explique Richard. « Lorsque les gens ne sentent pas la poussière sous leurs pieds, le soleil dans leur dos, qu’ils n’entendent pas les éléphants boire dans une mare toute proche, l’eau qui s’écoule dans leur trompe et leur gorge… C’est à nous de les aider à comprendre notre travail, pourquoi tout cela nous tient à cœur, pourquoi nous voulons mettre fin au braconnage. C’est une tâche importante que Dropbox Showcase nous aide à réaliser.”
« Dropbox Showcase nous aide à partager notre travail avec le reste du monde. Nous pouvons expliquer ce que nous faisons de manière visuelle, ce qui permet d’impliquer les gens, malgré les milliers de kilomètres qui nous séparent. »
L’une des fonctionnalités Showcase préférées de Richard est la possibilité de personnaliser la présentation en fonction des différents publics. Lors de présentations externes, Showcase permet à l’organisme de mettre en avant différents aspects qui susciteront plus l’intérêt des destinataires. Il est facile d’ajouter rapidement des détails et de réorganiser les fichiers pour mettre les plus importants en première position.
Le ZEF utilise également Showcase en interne pour communiquer à tous les niveaux de l’organisme. L’équipe a régulièrement besoin de partager des points clés avec les membres et les partenaires après ses ateliers et réunions stratégiques. Richard trouve qu’utiliser Showcase plutôt que des notes de réunion classiques est bien plus motivant et implique plus les membres de l’équipe.
Coordonner les efforts des bénévoles du Zimbabwe à San Francisco
“En rassemblant des compétences et des soutiens du monde entier, notre équipe est devenue plus forte, unie par un objectif commun. »
Le 17 novembre, le ZEF sera le bénéficiaire de la course Saving the Elephants organisée à Central Park, à New York. « Nous sommes ravis du potentiel offert par cet événement, » se réjouit Richard. « L’effort de coordination entre nos bénévoles situés au Zimbabwe, à New York, à San Francisco et à Londres pour rendre tout cela possible sera énorme. »
Bientôt, le ZEF commencera à coordonner son travail grâce à Dropbox Paper. L’organisme prévoit d’utiliser Paper comme emplacement central où partager des idées, harmoniser la communication et la logistique, et préparer cet événement.
« C’est impossible d’imaginer ce trésor de notre planète sans les éléphants. Cette région leur appartient plus qu’à nous, c’est pourquoi nous travaillons dur pour les protéger. En rassemblant des compétences et des soutiens du monde entier, notre équipe est devenue plus forte, unie par un objectif commun. Nous invitons le monde entier à nous rejoindre dans cette mission, » conclut Richard Maasdorp.
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