À la recherche de nouvelles planètes avec Dropbox

Sommes-nous seuls dans l’univers ?

C’est la question fondamentale à laquelle le SETI Institute (Search for Extraterrestrial Intelligence) s’efforce de répondre. Nous sommes peu de choses face à l’immensité de l’espace qui nous entoure, et les étoiles que nous voyons ne représentent qu’une infime partie de tout ce qui nous reste à observer.

Si nous sommes capables d’aider des clients comme le SETI Institute à inventer de nouvelles méthodes pour nous guider vers de nouveaux mondes, nous sommes sur la bonne voie.

Franck Marchis, astronome et planétologue au SETI Institute, nous a appris quelque chose d’incroyable : les points lumineux de la voûte céleste ne sont pas des étoiles isolées, mais des groupes d’étoiles ! Sans compter qu’il existe en moyenne deux planètes gravitant autour de chaque étoile, et qu’environ un tiers de ces planètes sont susceptibles d’avoir un climat compatible avec la présence d’eau liquide…

« Il y a certainement de la vie dans notre galaxie, mais en tant que scientifique, je ne veux pas simplement y croire, je veux la chercher, cette vie », déclare l’astronome.

Cette recherche a commencé par un projet sur dix ans qui prévoyait la conception d’un outil appelé le Gemini Planet Imager (GPI) dans les montagnes de Cerro Pachón, au Chili. « C’est une sorte d’appareil photo avancé », explique Franck Marchis. « C’est le premier instrument capable de voir la lueur des planètes et non leur ombre. Cela nous permet d’obtenir des données de bien meilleure qualité et beaucoup plus fiables. »

Comme on peut l’imaginer, les données calculées par le GPI sont complexes. Franck Marchis fait donc équipe avec 100 chercheurs basés en Amérique du Nord et du Sud, dont un groupe qui se trouve sur le terrain, au Chili. « Le GPI nous fournit des téraoctets de données certes très utiles, mais aussi totalement brutes. Nous avons recours à de nombreux algorithmes pour convertir ces données afin d’en extraire des informations probantes », explique-t-il. Chaque chercheur a sa spécialité, et il a fallu trouver une solution pour leur permettre à tous d’analyser le même ensemble de données au même moment.

C’est là que Dropbox a fait son entrée en scène.

« Dropbox est au cœur de notre processus », dit l’astronome. « Lors d’une observation, nous attendons avec impatience la notification nous informant que de nouvelles données ont été ajoutées, puis nous collaborons tous ensemble pour découvrir ce qu’elles signifient. Mais ces planètes ne nous attendent pas : elles se déplacent sans cesse, et les étoiles jouent à cache-cache. La rapidité et la fiabilité du partage de données via Dropbox sont essentielles pour nous permettre de faire des découvertes en temps réel. »

En 2015, le consortium GPI a annoncé la découverte de 51 Eridani b, une planète semblable à Jupiter, située à 100 années-lumière de la Terre. Mais Franck Marchis est loin d’avoir accompli sa mission : son prochain objectif est de découvrir une planète comparable à la Terre. Les outils et les données utilisés par son équipe deviennent de plus en plus complexes, car les plus petites planètes, comme la Terre, sont plus difficiles à trouver.

La rapidité et la fiabilité du partage de données via Dropbox sont essentielles pour nous permettre de faire des découvertes en temps réel. Cette collaboration sera un atout important pour les grandes découvertes à venir, en particulier la découverte d’une exoplanète comparable à la Terre.

– Franck Marchis, astronome et planétologue au SETI Institute

Mais Franck Marchis a toute confiance en son équipe. « De telles découvertes ne peuvent pas venir d’un génie isolé », dit-il. « Nous avons besoin de plusieurs personnes qui collaborent pour devenir ce génie, et des outils de collaboration comme Dropbox ont transformé la recherche scientifique. »

Pour découvrir comment Dropbox peut aider votre équipe à faire des découvertes, rendez-vous sur dropbox.com/business.