Conseils et avis d'experts — 15 janvier 2016

Faut-il (encore) avoir peur du « best of breed »  ?

Best of Breed ou solution polyvalente ? C’est souvent l’une des premières questions qui surgit quand l’entreprise se met en quête d’une solution de collaboration. En d’autres termes, est-il préférable de sélectionner un assemblage de solutions spécialisées ou faut-il s’en tenir à un seul outil généraliste ?

Avantages et inconvénients sont bien connus. Avec le « Best of Breed », les utilisateurs sont assurés de bénéficier d’outils reconnus pour chaque besoin, mais l’entreprise devra assurer l’intégration de l’ensemble. Avec une solution unique, pas de souci d’intégration, mais d’inévitables compromis fonctionnels. Problème : si ce clivage pouvait avoir du sens il y a trois ou quatre ans, il semble aujourd’hui dépassé.

Standards, services Web et cloud computing ont changé la donne de l’intégration

Tout d’abord pour des raisons techniques. Par le passé, le « best of breed » pouvait laisser craindre le pire. À savoir, un projet d’intégration sans fin avec des résultats pratiques discutables pour les utilisateurs et des coûts de maintenance déraisonnables pour la DSI. Mais aujourd’hui, les standards techniques, l’orientation « services Web » des solutions et le recours aux ressources de cloud computing ont sensiblement simplifié ces chantiers d’intégration.

« Ce qui compte dans la digital workplace est donc davantage une expérience utilisateur unifiée qu’un outil unique »
Bertrand Duperrin, Digital Transformation Practice Leader, Emakina

Surtout, cette opposition « Best of Breed versus solution polyvalente » passe à côté de l’enjeu véritable que résume assez bien Bertrand Duperrin, Digital Transformation Practice Leader chez Emakina : « Lorsqu’on parle d’un point d’entrée unique, d’un outil unique, c’est du point de vue de l’utilisateur, pas du point de vue de la technologie ou de l’IT. Ce qui est d’ailleurs confirmé par les utilisateurs finaux quand on évoque le sujet avec eux : ce dont ils se plaignent n’est pas la profusion d’outils […]. Ce qui compte dans la digital workplace est donc davantage une expérience utilisateur unifiée qu’un outil unique. »

L’étude « Knowledge Workers » réalisée par TNS Global pour Dropbox le confirme : proposer un large éventail d’outils aux collaborateurs n’est pas une mauvaise chose en soi. Au contraire, les chiffres le démontrent : l’efficacité collaborative, la satisfaction des utilisateurs et le nombre de solutions proposées épousent des courbes communes.

 

Si les utilisateurs sont prêts à recourir à différents outils, le sujet de l’expérience globale qui en découle ne doit toutefois pas être perdu de vue dans le choix des solutions. Cette expérience influence directement le niveau d’adoption par les utilisateurs.

Pour assurer une expérience fluide, sans couture entre sa propre solution et une suite comme Microsoft Office, Dropbox a opté pour le Badge. Un procédé discret, qui enrichit l’ergonomie existante sans la perturber, et épargne à l’utilisateur des manipulations fastidieuses. Une preuve par l’exemple que le « best of breed » peut prendre la forme d’une cohabitation efficace.


En savoir plus > Le Badge Dropbox pour Microsoft Office et le connecteur Dropbox pour Salesforce font partie des fonctionnalités simples mais puissantes que Dropbox propose pour co-éditer et collaborer sur des documents et des dossiers partagés (voir un exemple).

Remarque : nous publions parfois des articles relatifs à des produits et fonctionnalités avant leur lancement officiel.
La date de disponibilité et les caractéristiques exactes de ces produits et fonctionnalités peuvent être différentes des informations présentées ici.
Toute décision d'achat doit tenir compte des fonctionnalités actuellement disponibles.

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