L’éducation n’est pas un privilège, c’est un droit. Et comme tel, elle doit être juridiquement garantie pour tous, sans aucune discrimination. C’est motivée par ces principes fondamentaux qu’Erica Murphy, chercheuse dans le domaine des droits de l’homme pour l’organisation Initiative pour le droit à l’éducation (RTE), aide différents pays à concrétiser leurs engagements juridiques et à faire en sorte que les droits de la personne soient une réalité pour tous.
Comme l’indique Erica Murphy, « RTE est une petite organisation de défense des droits de l’homme qui s’appuie sur la loi pour collaborer avec les gouvernements et la société civile afin que l’accès à une éducation de qualité devienne une réalité pour tous. » À l’occasion de la Journée mondiale de l’aide humanitaire, nous avons donc suivi Erica Murphy en coulisses pour découvrir comment les organisations rendent notre monde meilleur. Voici leur histoire.
« Mon rôle consiste principalement à réaliser des recherches juridiques », explique Erica Murphy. « Cela peut sembler un peu technique et à des années-lumière du respect des droits de l’homme dans le monde, mais ce travail est essentiel. L’éducation en tant que droit humain est fondée sur la législation des droits de l’homme. Mon rôle est d’aider les États à appliquer la loi en vigueur. »
Erica Murphy passe ses (longues) journées à voyager dans le monde entier afin d’animer des séminaires et des présentations, et visiter les endroits où les droits de l’homme ne sont pas respectés. « Nous nous concentrons actuellement sur l’Ukraine. Depuis 2014, plus de 740 écoles ont été endommagées ou détruites à la suite des conflits et 220 000 enfants sont obligés d’apprendre dans des zones militarisées. Nous collaborons avec des journalistes, des organisations de la société civile basées en Ukraine, des ONG internationales et les Nations unies pour documenter les attaques et raconter ce que vivent les enfants et les enseignants au quotidien. »
Lorsque l’on travaille avec autant d’agences et d’organismes gouvernementaux pour soutenir les efforts sur le terrain, la collaboration et le travail d’équipe doivent être irréprochables. « La collaboration est primordiale », déclare Erica Murphy. « Nous sommes une petite organisation avec des compétences et des domaines d’expertise bien précis. Nous travaillons en réseau avec des organismes du monde entier. Cela nous permet de soutenir les actions des autres et aussi de mieux faire notre travail. Les personnes dont les droits ne sont pas respectés bénéficient le plus de cette synergie. Nous pouvons partager le travail, être plus créatifs et partager nos expériences en réseau. Il est clair que le contrôle et la défense des droits de l’homme sont renforcés par la collaboration. »
La collaboration permet également à RTE d’aborder les problèmes majeurs de façon innovante. En alliant les compétences, l’expertise et le savoir-faire issus de différents horizons, l’organisation trouve de nouvelles solutions. « Nous essayons actuellement de voir comment utiliser différents types de données (chiffres, données juridiques et audiovisuelles, témoignages) pour écrire des articles sur les droits de l’homme », indique Erica Murphy. « C’est tellement important de ne pas réduire les personnes à de simples statistiques, de reconnaître l’impact et les causes structurelles du non-respect des droits et de permettre aux détenteurs de droits de s’exprimer. La technologie nous aide à combler l’écart entre le monde des statistiques et les témoignages. Nous sommes en mesure de collaborer comme jamais auparavant, pour partager des informations et trouver de nouvelles façons de les diffuser. »
Interrogée sur l’importance de la Journée mondiale de l’aide humanitaire, Erica Murphy a insisté sur les progrès réalisés dans le monde grâce aux avancées technologiques. « Cette journée a pour but de rappeler aux gouvernements et à la communauté internationale que les droits de l’homme s’appliquent à chaque individu, même en cas de conflit ou de situation d’urgence », déclare-t-elle. « Les droits de l’homme dictent la façon dont nous devons traiter les individus, qu’ils soient pauvres ou qu’ils vivent dans des zones de conflit. La bonne nouvelle, c’est que nous nous rapprochons sans cesse de ces objectifs et que les choses avancent de façon considérable. »
« Au début, je crois qu’il est important de se concentrer sur les problèmes qui nous concernent nous, nos amis ou notre entourage », indique Erica Murphy. « Les droits de l’homme commencent là où nous vivons. Nous devons faire attention à la façon dont nous traitons les gens, à notre rapport aux injustices sociales, aux responsabilités individuelles et à notre volonté de changement. Il n’est pas nécessaire d’accepter les choses telles qu’elles sont. »
Pour savoir comment la collaboration permet à certaines organisations internationales de combattre l’injustice, lisez l’article Viva con Agua facilite l’accès à l’eau et l’assainissement dans le monde. Enfin, découvrez comment RET International favorise l’émancipation des femmes et des jeunes dans le monde entier.
Protéger le droit à l’éducation pour tous : comment allier collaboration et recherche
L’éducation n’est pas un privilège, c’est un droit. Et comme tel, elle doit être juridiquement garantie pour tous, sans aucune discrimination. C’est motivée par ces principes fondamentaux qu’Erica Murphy, chercheuse dans le domaine des droits de l’homme pour l’organisation Initiative pour le droit à l’éducation (RTE), aide différents pays à concrétiser leurs engagements juridiques et à faire en sorte que les droits de la personne soient une réalité pour tous.
Comme l’indique Erica Murphy, « RTE est une petite organisation de défense des droits de l’homme qui s’appuie sur la loi pour collaborer avec les gouvernements et la société civile afin que l’accès à une éducation de qualité devienne une réalité pour tous. » À l’occasion de la Journée mondiale de l’aide humanitaire, nous avons donc suivi Erica Murphy en coulisses pour découvrir comment les organisations rendent notre monde meilleur. Voici leur histoire.
« Mon rôle consiste principalement à réaliser des recherches juridiques », explique Erica Murphy. « Cela peut sembler un peu technique et à des années-lumière du respect des droits de l’homme dans le monde, mais ce travail est essentiel. L’éducation en tant que droit humain est fondée sur la législation des droits de l’homme. Mon rôle est d’aider les États à appliquer la loi en vigueur. »
Erica Murphy passe ses (longues) journées à voyager dans le monde entier afin d’animer des séminaires et des présentations, et visiter les endroits où les droits de l’homme ne sont pas respectés. « Nous nous concentrons actuellement sur l’Ukraine. Depuis 2014, plus de 740 écoles ont été endommagées ou détruites à la suite des conflits et 220 000 enfants sont obligés d’apprendre dans des zones militarisées. Nous collaborons avec des journalistes, des organisations de la société civile basées en Ukraine, des ONG internationales et les Nations unies pour documenter les attaques et raconter ce que vivent les enfants et les enseignants au quotidien. »
Lorsque l’on travaille avec autant d’agences et d’organismes gouvernementaux pour soutenir les efforts sur le terrain, la collaboration et le travail d’équipe doivent être irréprochables. « La collaboration est primordiale », déclare Erica Murphy. « Nous sommes une petite organisation avec des compétences et des domaines d’expertise bien précis. Nous travaillons en réseau avec des organismes du monde entier. Cela nous permet de soutenir les actions des autres et aussi de mieux faire notre travail. Les personnes dont les droits ne sont pas respectés bénéficient le plus de cette synergie. Nous pouvons partager le travail, être plus créatifs et partager nos expériences en réseau. Il est clair que le contrôle et la défense des droits de l’homme sont renforcés par la collaboration. »
La collaboration permet également à RTE d’aborder les problèmes majeurs de façon innovante. En alliant les compétences, l’expertise et le savoir-faire issus de différents horizons, l’organisation trouve de nouvelles solutions. « Nous essayons actuellement de voir comment utiliser différents types de données (chiffres, données juridiques et audiovisuelles, témoignages) pour écrire des articles sur les droits de l’homme », indique Erica Murphy. « C’est tellement important de ne pas réduire les personnes à de simples statistiques, de reconnaître l’impact et les causes structurelles du non-respect des droits et de permettre aux détenteurs de droits de s’exprimer. La technologie nous aide à combler l’écart entre le monde des statistiques et les témoignages. Nous sommes en mesure de collaborer comme jamais auparavant, pour partager des informations et trouver de nouvelles façons de les diffuser. »
Interrogée sur l’importance de la Journée mondiale de l’aide humanitaire, Erica Murphy a insisté sur les progrès réalisés dans le monde grâce aux avancées technologiques. « Cette journée a pour but de rappeler aux gouvernements et à la communauté internationale que les droits de l’homme s’appliquent à chaque individu, même en cas de conflit ou de situation d’urgence », déclare-t-elle. « Les droits de l’homme dictent la façon dont nous devons traiter les individus, qu’ils soient pauvres ou qu’ils vivent dans des zones de conflit. La bonne nouvelle, c’est que nous nous rapprochons sans cesse de ces objectifs et que les choses avancent de façon considérable. »
« Au début, je crois qu’il est important de se concentrer sur les problèmes qui nous concernent nous, nos amis ou notre entourage », indique Erica Murphy. « Les droits de l’homme commencent là où nous vivons. Nous devons faire attention à la façon dont nous traitons les gens, à notre rapport aux injustices sociales, aux responsabilités individuelles et à notre volonté de changement. Il n’est pas nécessaire d’accepter les choses telles qu’elles sont. »
Pour savoir comment la collaboration permet à certaines organisations internationales de combattre l’injustice, lisez l’article Viva con Agua facilite l’accès à l’eau et l’assainissement dans le monde. Enfin, découvrez comment RET International favorise l’émancipation des femmes et des jeunes dans le monde entier.
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